Les nouvelles F1 moins dépendantes du DRS en 2022 ? - Automag.fr

Les nouvelles F1 moins dépendantes du DRS en 2022 ?


Les nouvelles monoplaces de Formule 1 seront-elles moins dépendantes de l’utilisation du DRS pour pouvoir dépasser en Grand Prix ? C’est la suggestion du directeur technique d’Aston Martin.

Encensé par les uns, villipendé par les autres pour son caractère trop artificiel à provoquer un dépassement, le DRS (pour Drag Reduction System) pourrait devenir moins prépondérant en course avec l’arrivée en Formule 1 des nouvelles monoplaces 2022 (retrouvez-les ici en images).

C’est du moins l’avis partagé par Andrew Green, le directeur technique d’Aston Martin : « Le DRS en lui-même sera tout aussi puissant », a-t-il déclaré lors de la présentation de la nouvelle AMR22. « Mais je pense que ce sera à la FIA d’examiner les circuits et de modifier les zones DRS en conséquence. »

Green : « Nous pourrions voir les zones DRS réduites »

« Si la configuration du circuit le permet, et que les voitures se suivent de plus près, les pilotes ne devraient progressivement plus avoir besoin du DRS », poursuit-il. « Nous pourrions voir les zones DRS réduites au fil du temps. Certaines d’entre elles pourraient même être supprimées, ce qui serait une bonne chose ».

Après les traditionnelles présentations de monoplace, la première valse d’essais hivernaux se tiendra du 23 au 25 février à Barcelone, suivie d’une deuxième série de trois journées, du 11 au 13 mars à Bahreïn, théâtre de la première des 23 manches du Championnat du monde de F1 2022.

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