Son moteur est HS à seulement 101 300 km, la facture est SALÉE - Automag.fr

Son moteur est HS à seulement 101 300 km, la facture est SALÉE


« 4 684 € à débourser pour un moteur HS à 101 300 km ! ». C’est le constat amère de notre lecteur Matthieu, propriétaire d’un Grand Scénic d’à peine 5 ans !

Voici un cas de figure assez rageant pour le propriétaire de ce Grand Scénic. Un de nos lecteurs, Matthieu T. a eu une très mauvaise surprise à seulement 101 300 km !

Un problème moteur à 101 300 km seulement

Au cours de la rentrée 2017, Matthieu T., de Saint-Lô (50), devient propriétaire d’un Renault Grand Scénic 1.6 dCi 160 flambant neuf.

Prudent, il complète son achat d’une extension de garantie de 5 ans ou 80 000 km. Notre conducteur roule plus que prévu et, alors qu’il n’a que 4 ans et demi, le Grand Scénic affiche déjà 101 300 km au compteur.

Mais malheureusement, depuis quelques semaines, le véhicule cumule les problèmes : reflux d’échappement dans l’habitacle, voyants divers et variés s’allumant sur le tableau de bord…

Dialogue de sourds

Face à ce déferlement de soucis, le concessionnaire de Matthieu semble un peu perdu.

Au bout de plusieurs jours, il arrive à la conclusion que la seule solution pour remettre l’auto d’aplomb consiste à changer le moteur. Ce diagnostic est validé par le constructeur, puisque, à partir du devis de 10 795 € qui est établi pour cette intervention, le Losange propose une prise en charge à hauteur de 57 %.

Mais notre lecteur n’est pas décidé à débourser 4 684 € pour récupérer sa voiture en état de marche. D’autant que les dysfonctionnements ne sont en rien liés à l’utilisation du véhicule. Il s’adresse alors directement au service relations clientèle, insiste, mais rien n’y fait.

Renault refuse de se montrer plus généreux. Toutefois, Matthieu n’envisage pas de baisser les bras et, de guerre lasse, décide de nous contacter…

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Notre stratégie de défense

Matthieu est prévoyant. Non seulement il a contracté une extension de garantie lors de l’achat de son Grand Scénic, mais il a, de plus, mis un point d’honneur à respecter à la lettre le plan d’entretien de la marque.

Il est donc impossible de lui adresser le moindre reproche.

En se référant au barème de nos experts, il apparaît donc que Renault doit s’acquitter de 90 % des frais de réparation, sans pouvoir invoquer de taux de vétusté sur ce véhicule mis en circulation il y a moins de cinq ans.



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