Zapping Autonews Bugatti Chiron Profilé (2023) : l’exemplaire unique et vendu aux enchères en vidéo
Les faits remontent au 28 juin dernier quand les gendarmes contrôlent cette conductrice au volant d’une voiture sans permis dans la commune d’Auberville. La voiturette en question est dans un état qui n’inspire pas franchement confiance. Nos confrères du Pays d’Auge expliquent en effet dans leur édition du 23 janvier que l’un des phares tient grâce à du ruban adhésif.
Les militaires qui procèdent au contrôle soumettent la quinquagénaire à l’éthylotest. Celui-ci est positif (1,52g). Une alcoolémie confirmée plus tard par l’éthylomètre. Devant le juge, la conductrice jure les grands dieux qu’elle n’a pas consommé d’alcool, que ce taux est lié à la prise de médicaments faisant suite à une intervention chirurgicale.
Pas convaincue par les explications
Finalement, devant les questions de la magistrate en charge du dossier, l’automobiliste concède avoir consommé de l’alcool la veille du contrôle. Ce qui inspirera ce commentaire la magistrate qui en dit long :
« De très nombreux verres »
La quinquagénaire, en état de récidive suite à un jugement de la cour d’appel de Caen en février dernier, écope de deux mois de prison avec sursis probatoire de deux ans avec obligations de soins et de travail. À cela s’ajoutent deux amendes d’un montant total de 203€.
Pour résumer
Une femme de 59 ans comparait devant le tribunal pour conduite en état d’ivresse au volant d’une voiturette délabrée, l’un des phares maintenus par du ruban adhésif. Contrôlée par les gendarmes à Auberville le 28 juin dernier, l’éthylotest positif (1,52g) est confirmé par l’éthylomètre, malgré les dénégations de la conductrice qui attribue le résultat à la prise de médicaments post-opératoires. Finalement, elle admet avoir consommé de l’alcool la veille du contrôle. En état de récidive, elle est condamnée à deux mois de prison avec sursis probatoire de deux ans, assorti d’obligations de soins et de travail, ainsi que deux amendes totalisant 203€.
